« À cette époque, les gens cultivaient la coca », se souvient notre protagoniste, Johana. « J’avais peur, mais au final, je me suis dit je rentre, car c’est ma maison, et je ne peux pas l’abandonner. Je me fiche qu’ils veuillent me tuer : qu’ils le fassent, mais je dois rentrer chez moi. »